Vendredi ce sera la journée internationale de lutte pour les droits des femmes aussi cette semaine, nous avons voulu rendre hommage à une grande dame, enfant de Lavelanet et peintre internationalement connue, Mady de la Giraudière.
Nous avions eu l’immense plaisir de la rencontrer en février 2013 à l’occasion d’un long entretien qu’elle avait eu la gentillesse de nous accorder.
Mady de la Giraudière, s’est éteinte cinq ans plus tard, en février 2018, mais il nous reste le souvenir de cette merveilleuse rencontre.
Née à Toulouse « par accident » Mady de la Giraudière était farouchement attachée à l’Ariège, au Pays d’Olmes et à Lavelanet. C’est là qu’elle grandit. Une enfance merveilleuse dans une grande demeure, trois générations, un chien, un chat, les montagnes et la nature.
D’aussi loin qu’elle se rappelle, sa vocation est venue à l’âge de cinq ans lorsqu’elle dessine avec le rouge à lèvre de sa mère les portraits en pied de ses parents sur le mur de la chambre…
Cette vie idyllique « d’enfants sauvage » va souffrir de neuf ans d’internat à Toulouse. L’Ariège lui manque ses animaux sa couleur… tout ce qui fait son paradis. Mais rien n’arrête sa passion dévorante pour le dessin.
Grâce à son succès, son talent mondialement reconnu (Chevalier dans l’Ordre des Arts et Lettres en 1987, Officier dans l’Ordre des Arts et Lettres au titre de la promotion de juillet 2011), ses nombreux voyages, ses rencontres avec les plus Grands, elle faisait rayonner l’Ariège au quatre coins du monde.
Entretien avec Mady de la Giraudière : Mady et la couleur
Entretien avec Mady de la Giraudière : Mady et les animaux
N’hésitez pas à aller visiter la Galerie Mady de le Giraudière