Interview 🎥 Ce Jeudi 29 septembre, Georges-Patrick Gleize nous a fait le plaisir de nous consacrer une interview pour nous parler de son nouveau roman « Coupe rase » paru le 14 septembre aux éditions Calmann Lévy dans la collection Territoire.
Romans de terroir, romans policiers, romans historiques, avec 20 romans à son actif, Georges-Patrick Gleize est un écrivain incontournable en Ariège.
Avec ce 20ème roman, il quitte le territoire ariégeois pour nous emmener en Haute Corrèze où une jeune journaliste venue enquêter sur un homicide, va se heurter au silence et à l’hostilité des habitants du cru.
Comme point de départ de ce roman policier, un fait divers – des centaines d’arbres illégalement coupés, volés et débités par une entreprise de bûcherons espagnols à Perles-et-Castelet en Ariège en 2021 – qui a éveillé l’intérêt de l’auteur.
Mais pour en savoir plus, il suffit d’écouter notre entretien avec Georges-Patrick Gleize et ensuite, bien sûr, lire « Coupe rase ».
Par Dominique Mourlane,
libraire au Relais de Poche à Verniolle
De sombres secrets hantent les forêts de Haute-Corrèze.
Quand Mathieu Champeix, militant écologiste médiatique, est découvert assassiné dans un bois de Mauriac-le-Vieux en Haute- Corrèze, une question est sur toutes les lèvres : quels intérêts ce trublion était-il venu déranger ?
Tandis que l’enquête de la gendarmerie piétine, Valérie Lafarge, journaliste dans un grand hebdo parisien, est envoyée sur place pour traiter l’affaire. Elle prend pension dans la maison d’hôtes de Monique Belcour. Selon Monique, Champeix s’intéressait à une histoire de coupe sauvage d’arbres séculaires au détriment de petits propriétaires forestiers.
Valérie cherche à en savoir plus auprès des habitants du bourg, mais c’est peu dire que sa curiosité est mal accueillie. Elle se sent observée, peut-être même suivie… Jusqu’au traquenard sinistre qui lui fait comprendre qu’à force de poser des questions, elle joue, elle aussi, sa peau…
À ses risques et périls, Valérie s’obstine. Qui fait régner la loi du silence à Mauriac ? Et pourquoi ?