Vendredi 2 juillet 2021, Alain Rochet a signé le compromis de vente du bâtiment d’ENGIE situé au 11 rue du Maréchal Clauzel, boulevard Delcassé et 2 rue des Jardins à Pamiers en vue d’y implanter le futur siège de la Communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées.
C’est une première pierre à l’édifice importante pour la collectivité au-delà de la symbolique et notamment pour les agents des équipes administratives de la CCPAP. Cette signature officielle lance la procédure d’implantation du futur siège de l’intercommunalité pour gagner en cohésion d’équipe administrative, en confort de conditions de travail des agents et en praticité au quotidien du déroulé des missions.
Depuis la nouvelle mandature, la CCPAP travaille à construire son entité propre, gage d’équité qu’elle veut apporter à l’ensemble des 35 communes qui la composent et avoir son autonomie territoriale.
Actuellement répartie sur deux sites, la majorité des services administratifs pourra ainsi être réunie au sein d’un même lieu, favorisant ainsi l’esprit de cohésion au quotidien et avec des espaces leur permettant plusieurs grands attendus des équipes : une grande salle de réunion, des bureaux plus spacieux et mieux configurés, un accès public et un accès personnel de la collectivité, des places de parkings intégrées au site, une salle collective de repos pour la pause déjeuner…
Mais pour tout cela il faudra encore patienter : des travaux de dépollution du site doivent être opérés sur une durée de 10 mois puis une étude environnementale de contrôle conduite sous 2 à 3 mois. La signature de l’acte définitif de vente est donc prévue pour l’été 2022 auquel seront effectués enfin les nécessaires travaux d’aménagement sur une bonne année. C’est donc qu’à mi-mandat courant 2023, au plus tard début 2024 que le nouveau siège sera opérationnel.
Ce qui laisse aussi du temps à l’intercommunalité pour continuer d’élaborer son projet de territoire afin de progressivement lancer les pistes d‘actions définies qui sortiront des échanges actuellement tenus avec les 70 élus communautaires au sein des ateliers de travail proposés jusqu’à la fin de l’année. Mais aussi de se doter d’une nouvelle identité territoriale, plus fidèle à son dynamisme enclenché depuis un an.