Le président de la communauté de communes de la Haute Ariège est cette semaine l’invité de la semaine sur le plateau d’Azinat.com. Au programme les investissements de la « Com com » dans les stations et dans les équipements touristiques en général.
Quand on évoque la neige et les stations de ski en Ariège, on se tourne souvent vers les stations emblématiques du département et forcément la Haute Ariège qui comprend la plus forte densité de stations de ski et de nordique : Le Chioula, Ascou, Ax-Bonascre, l’espace Nordique de Beille, … Un terrain de jeu et d’investissement de la communauté de communes de la Haute Ariège (CCHA) que connait bien le Maire d’Orlu et président de l’EPCI en question. Et c’est effectivement vers ce champs touristique que vont naturellement les investissements et les efforts de la collectivité et de ses services ; structurer, rendre la Haute Vallée attractive pour le plus grand bien du territoire et des habitants de la vallée.
Face aux changements climatiques Alain Naudy est serein et le montagnard qu’il est ne s’emballe pas devant le faible enneigement qui gagne parfois nos sommets. Aujourd’hui les techniques évoluent et la neige tombe toujours, même s’il est parfois difficile d’en profiter car la climatologie n’est pas évidente « Des Noël sans neige on en a connu et on en connaitra d’autres, ce n’est pas nouveau ! ». Sans être « climatosceptique » Alain Naudy sait que le ski et la neige sont encore pour de nombreuses années la richesse du territoire de la haute vallée qui se structure peu à peu sur d’autres activités de remplacement. L’exemple de la voie à mobilité active (voie verte façon haute vallée de l’Ariège avec quelques petits raidillons 😉
Mais la vallée ce n’est pas que les stations, il y aussi un passé et un présent industriel qui connait des investissements comme avec l’usine d’embouteillage et le projet des vallées ingénieuses qui pourront faire un pas vers le tourisme industriel.
On parle aussi du mécontentement social en Haute Vallée et on n’oublie surtout pas que la solidarité est essentielle ; celle des territoires mais aussi des habitants : c’est ce que souhaite avant tout le président de la « Com com » !