INTERVIEW 🎙️Nicolas Indart, avant de devenir professeur de Lettres Modernes, a eu un parcours assez éclectique : des sciences à la linguistique, ses centres d’intérêt sont variés. Il élève aujourd’hui ses enfants dans le calme des Pyrénées ariégeoises, et enseigne dans un petit collège. (Extrait Librairie Publibook)
Bonjour Nicolas Indart bienvenu au Relais de Poche pour cette édition d’Azinat et bonjour amis d’Azinat. Nous allons vous présenter aujourd’hui un premier roman de l’auteur ariégeois Nicolas Indart qui s’appelle l’apocalypse selon Max 1
Déjà Nicolas ce titre mérite un commentaire car il renvoie à beaucoup de références.
Vous avez choisi un roman postapocalyptique qui parle des dérives de notre époque. Pourquoi avoir choisi ce genre littéraire ?
Dans ces dérives modernes vous en avez beaucoup contre la société de consommation, mais vous pointez avec force les tendances dictatoriales vers lesquelles nous nous enfonçons. Autant la dérive consumériste est plutôt modern autant la dérive totalitaire est un soubresaut de l’histoire. Qu’est-ce qui vous inquiète le plus ?
Votre récit va crescendo tout au long du roman, les héros tombent de Charybde en Scylla jusqu’à un final qui ne laisse rien à l’avenir. J’ai parfois eu l’impression que c’est votre écriture qui a construit le scénario et maintenant une pression croissante. Me trompe-je ?
Vous vous attachez à défendre la cellule familiale, d’une manière large, mais comme étant de ce que peut être l’amour. Votre famille traverse le récit en acquérant des compétences tout au long des pages. Comment avez-vous construit de mythe ?
Amis d’Azinat et de la littérature postapocalyptique vous pouvez vous adressez à votre librairie le Relais de Poche pour vous procurer le roman de Nicolas Indart : l’apocalypse selon Max 1
Par Dominique Mourlane,
libraire au Relais de Poche à Verniolle

Max est un homme ordinaire, coincé dans une vie stable et répétitive. Un mariage, des enfants, un travail. Le monde change autour de lui, mais lui ne change pas. Perdu dans une société absurde de contraintes et de consommation, Max ferme sa fenêtre et éteint sa télévision. Mais pourra-t-il se voiler la face plus longtemps ? Lorsque les bombes pleuvent, peut-on se conforter dans sa peur ? Pour la première fois de sa vie, il est contraint de faire face à ses terreurs. Max court, Max fuit, Max se démène pour sauver les siens. Sur sa route, il rencontrera toute la cruauté du monde, mais toute sa beauté aussi. Restera-t-il homme ou deviendra-t-il bête ?