Cette semaine, la DDFIP et la CCPAP ont formalisé officiellement la candidature de l’EPCI au dispositif de contrôle allégé en partenariat (CAP).
Une proposition émise par les services de l’Etat, inédite en Ariège, qui témoigne de la confiance accordée à la qualité d’exécution budgétaire de l’intercommunalité conduite par Alain Rochet.
Dernièrement, la Communauté de communes des Portes d’Ariège Pyrénées (CCPAP) a fait l’objet d’un contrôle d’exercice de ses mandatements de 2021 par le service de la DGFIP de l’Ariège.
C’est ainsi que 1.245 mandats de la CCPAP ont été analysés, représentant un montant de dépenses de 17.779.635,25 €. Sur l’ensemble des mandats contrôlés, seulement trois ont été relevés pour des motifs mineurs, à hauteur de 6.948,91 €, soit 0,24% des mandats contrôlés.
Ces résultats très satisfaisants sont le fruit direct du sérieux du travail des équipes de l’intercommunalité, et leur strict respect des procédures. Cette excellente gestion ainsi incité la DGFIP à proposer à la CCPAP de bénéficier du dispositif de contrôle allégé en partenariat (CAP) pour une partie de ses dépenses (chapitre 011).
Cette proposition est un gage de confiance important qui témoigne de la bonne gestion des finances de la collectivité, en plus des excellentes relations entretenues quotidiennement avec les services de l’Etat.
Cette candidature au CAP est une première en Ariège, elle s’inscrit et vient encourager le pro- jet même du Service financier de la CCPAP impulsé par le Président Alain Rochet dès son arrivée, en permettant progressivement de développer et d’améliorer le contrôle interne des procédures financières dans une optique de meilleure maîtrise des risques et d’anticipation de la gestion comptable.
Photo : Signature de la Candidature de la CCPAP au CAP.
De gauche à droite : Paul CHATAIL, Directeur Départemental des Finances Publiques, Jean-Marie LECOMTE, chef du service de gestion comptable de Pamiers et Alain Rochet, Président de la CCPAP