L’association « Espéranto-Ariège » propose de la culture, des voyages, des rencontres, des échanges et accueille tout au long de l’année scolaire de nouveaux élèves pour des cours oraux de Langue internationale.
Le « cours » de Verniolle fonctionne généralement sous forme d’ateliers. Ainsi, depuis plusieurs décennies, ceux qui en savent un peu le transmettent puis, lors du cours suivant, on échange les rôles, les lecteurs deviennent traducteurs, ceux qui ont interrogé répondront et ainsi de suite… avec des personnes férues de langues, on parle aussi parfois du mandarin, comme au printemps dernier entre Sébastien et Olivia, du grec et du latin pour travailler les racines et aussi des langues germaniques et slaves, avec Robert au russe, Victor au tchèque, Cyril à l’allemand, soudain, le monde entier se retrouve ici, à Verniolle.
Certains élèves ont suivi des stages en Couserans, en Pays de Loire, en Grande-Bretagne, en Slovaquie, d’autres ont débuté l’étude de l’espéranto en Pays d’Olmes, à Verniolle ou à Foix, quelques-un par la toile informatique ; depuis quarante-neuf ans, plusieurs centaines d’espérantistes, espérantophones et amis de l’espéranto se sont succédé ou rencontrés pour quelques heures, plus ou moins régulièrement à la Salle des Associations de Verniolle. D’anciens élèves sont partis enseigner plus loin.
Ce samedi 2 novembre, Salle des Associations de Verniolle, dès 14 heures, c’est un nouveau cours « 2019-20 » qui vous accueillera pour une initiation, des jeux, etc.
Il y aura, comme d’habitude des débutants, des « progressants » et des curieux de langues, en inter-générationnel.
L’espéranto, qu’es aco ?
L’ESPERANTO est une langue transnationale dont le nom signifie : « celui qui espère ». Tel était le pseudonyme de l’initiateur de cette langue : le Docteur Zamenhof, médecin et linguiste, qui la proposa en 1887, à Varsovie.
Conçue avec précision, l’ESPERANTO est facile à apprendre, même seul ou par correspondance. Sa facilité résulte d’une grammaire régulière et d’un système de dérivation qui permet de créer, d’une façon naturelle, les mots, à partir de racines internationales.
L’évolution et l’enrichissement de la LANGUE sont assurés par l’usage : correspondances, rencontres, voyages, littérature, sciences et techniques, moyens d’information, multimédia, relations professionnelles, chansons, théâtre, familles et même éducation des enfants.
La vie sociale et culturelle de la COMMUNAUTE ESPERANTOPHONE se développe surtout par des contacts individuels à l’étranger, dans des centres de stages et rencontres, dans les congrès et festivals internationaux, par les échanges sur la toile informatique et à travers l’activité des groupes locaux.
Par l’ESPERANTO, chacun peut établir, non seulement des contacts plus directs et sans discrimination avec des personnes ou familles de culture différente, mais aussi contribuer à la réalisation d’une communauté transnationale, dans le respect de toute identité.
C’est un bonne article. Beaucoup de préjugés circulent malheureusement à propos de l’espéranto, et je ne crois pas en avoir trouvé. Je tiens à préciser que l’espéranto s’apprend en quelques mois et que j’ai atteins moi même un niveau B1 en 4 mois. Tout le monde peut obtenir ce niveau en l’espace d’un an, peut importe la langue maternelle. Sachant que l’anglais prend une décennie aux asiatiques, et que l’on peut le maîtriser réellement uniquement en vivant dans un pays anglophone, l’espéranto a un réel intérêt dans la recherche d’une communication de qualité.
Pour apprendre cette étonnante langue, dotée d’une culture et d’une littérature à part entière : lernu.net
Dankon Hejmano !
Vi pravas pri tio, ke en gazetaro ofte aperas antaŭjuĝoj… pro kio mi mem verkas tion, kion mi volas legigi. Tiel eĉ post parta fortranĉado plejofte restas multaj ĝustaĵoj en la aperanta artikolo.
Krome ju pli emfazas proponita artikolo des pli certe aperos artikolo.
Re-dankon pro via reago.